On s'est infiltrées pour vous...
Vous avez peut-être entendu parler de cette licence? Par des professeurs en cours, des bruits de couloirs, des affiches plus ou
moins explicites ou encore sur le site du département Lettres et Sciences
Humaines... Sans vraiment vous en mêler ou savoir concrètement en quoi cela
consistait. Le mystère est enfin levé ! Explications…
Kévin, fidèle
acolyte étudiant sur les mêmes bancs inconfortables que moi les deux premières
années de licence, m’a apporté sa parole d’évangile.
« Un des points forts de cette licence est avant tout sa
polyvalence ; on touche vraiment à tout pour comprendre l’actualité dans
son étendue et sa complexité. »
La
licence se veut effectivement « passerelle » ; une ouverture culturelle
et professionnelle plus grande aux étudiants, les sensibilisant aux médias et à
l’actualité, ainsi qu’au monde journalistique. Elle permet principalement à se
préparer aux concours d’entrée dans les écoles de journalismes ou d’intégrer le
master qui en découle. Mais le chemin n’est pas tout tracé, et des sentiers
peuvent amener à des études dans les relations internationales (par exemple).
« Les matières se recoupent entre elles ; journalistiques
ensemble et littéraires ensemble. C’est ce qui nous rend parfois un peu
schizophrène d’ailleurs. »
Si
la licence journalisme suit les cours magistraux de la troisième année de
licence Lettres modernes ou Histoire/Géographie, elle n’applique pourtant pas
la même méthode de travail universitaire. Cela permet de garder une culture
générale qui peut être un plus et permettre une professionnalisation dans le
monde journalistique entre autre. Le
rythme de travail y est assez soutenu, la motivation doit donc être à toute
épreuve.
Et l’anglais dans tout ça ?
Bien
loin du « Where is Bryan ? », la licence journalisme propose un
enseignement d’anglais de la presse, professionnalisé. Les articles et thèmes
étudiés sont en rapport direct avec l’actualité, anglo-saxonne en particulier. Big
up pour le niveau B2 !
Culture générale ; sésame de tout parcours.
En
plus des disciplines dispensés dans les licences référentes, un cours de
culture générale pour la presse est dispensé ; il traite de tous sujets
d’actualités et de certaines notions qui sont rarement abordées dans le cursus
initial tel que la politique ou encore la finance (pour évoquer des termes un
peu barbares). N’ayez pas peur, les notions seront bien évidemment
approfondies !
Le B.a.-ba des médias & des métiers.
A
l’ère du numérique, les articles de presse papier et de presse numérique ne
sont pas rédigés de la même manière. De même, des nouveaux métiers voient le
jour et vous seront présentés. Ainsi est revu en cours tout le fonctionnement
de la presse sur Internet, la hiérarchie au sein d’un journal, l’organisation
des tâches, l’utilité de Google, j’en passe et des meilleurs, pour vous donner
un bref aperçu des matières.
Last but not least.
La
communication avec les enseignants se créée très naturellement, ils restent
disponibles à vos questions, angoisses et autres sueurs froides. Y a pas à
dire, à Cergy, on est chouchouté !
Récapitulons !
Pour bien préparer le terrain, il est
conseillé de :
-
Suivre les options qui touchent –de près ou de loin- à la communication
à l’université.
-
Pour le fun (aussi), participer à des ateliers d’écriture.
-
Effectuer un stage de minimum un mois dans le secteur journalistique
et/ou de la communication, pour avoir une expérience de terrain (et mieux
assimiler les cours ensuite).
-
Préparer convenablement l’entretient qui se déroulera avant l’entrée en
licence. Une aide peut être apportée par le service d’orientation à la Tour des
chênes, au Scuio-Ip.
Malo'