mardi 28 janvier 2014

N°1, la licence journalisme.

On s'est infiltrées pour vous...


Vous avez peut-être entendu parler de cette licence? Par des professeurs en cours, des bruits de couloirs, des affiches plus ou moins explicites ou encore sur le site du département Lettres et Sciences Humaines... Sans vraiment vous en mêler ou savoir concrètement en quoi cela consistait. Le mystère est enfin levé ! Explications…

Kévin, fidèle acolyte étudiant sur les mêmes bancs inconfortables que moi les deux premières années de licence, m’a apporté sa parole d’évangile.

« Un des points forts de cette licence est avant tout sa polyvalence ; on touche vraiment à tout pour comprendre l’actualité dans son étendue et sa complexité. »

La licence se veut effectivement « passerelle » ; une ouverture culturelle et professionnelle plus grande aux étudiants, les sensibilisant aux médias et à l’actualité, ainsi qu’au monde journalistique. Elle permet principalement à se préparer aux concours d’entrée dans les écoles de journalismes ou d’intégrer le master qui en découle. Mais le chemin n’est pas tout tracé, et des sentiers peuvent amener à des études dans les relations internationales (par exemple).

« Les matières se recoupent entre elles ; journalistiques ensemble et littéraires ensemble. C’est ce qui nous rend parfois un peu schizophrène d’ailleurs. »

Si la licence journalisme suit les cours magistraux de la troisième année de licence Lettres modernes ou Histoire/Géographie, elle n’applique pourtant pas la même méthode de travail universitaire. Cela permet de garder une culture générale qui peut être un plus et permettre une professionnalisation dans le monde journalistique entre autre.  Le rythme de travail y est assez soutenu, la motivation doit donc être à toute épreuve.

Et l’anglais dans tout ça ?

Bien loin du « Where is Bryan ? », la licence journalisme propose un enseignement d’anglais de la presse, professionnalisé. Les articles et thèmes étudiés sont en rapport direct avec l’actualité, anglo-saxonne en particulier. Big up pour le niveau B2 !

Culture générale ; sésame de tout parcours.

En plus des disciplines dispensés dans les licences référentes, un cours de culture générale pour la presse est dispensé ; il traite de tous sujets d’actualités et de certaines notions qui sont rarement abordées dans le cursus initial tel que la politique ou encore la finance (pour évoquer des termes un peu barbares). N’ayez pas peur, les notions seront bien évidemment approfondies !

Le B.a.-ba des médias & des métiers.

A l’ère du numérique, les articles de presse papier et de presse numérique ne sont pas rédigés de la même manière. De même, des nouveaux métiers voient le jour et vous seront présentés. Ainsi est revu en cours tout le fonctionnement de la presse sur Internet, la hiérarchie au sein d’un journal, l’organisation des tâches, l’utilité de Google, j’en passe et des meilleurs, pour vous donner un bref aperçu des matières.

Last but not least.

La communication avec les enseignants se créée très naturellement, ils restent disponibles à vos questions, angoisses et autres sueurs froides. Y a pas à dire, à Cergy, on est chouchouté !


Récapitulons !

 Pour bien préparer le terrain, il est conseillé de :
-          Suivre les options qui touchent –de près ou de loin- à la communication à l’université.
-          Pour le fun (aussi), participer à des ateliers d’écriture.
-          Effectuer un stage de minimum un mois dans le secteur journalistique et/ou de la communication, pour avoir une expérience de terrain (et mieux assimiler les cours ensuite).
-          Préparer convenablement l’entretient qui se déroulera avant l’entrée en licence. Une aide peut être apportée par le service d’orientation à la Tour des chênes, au Scuio-Ip.

Malo'


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